Le vieux chat a plumes

*Tomber de plusieurs étages pour se retrouver amortie par une voiture, ça ne fait du bien pour personne... et même si notre ami a de sacrés capacités, il a aussi d'énormes défaut. Entre autre, cette chute l'a pas mal affecté, et paralysé une partie de son visage et son bras gauche. Pas bien fière, il arrive et s'assoit sur une chaise a l'entrée... attendant qu'une infirmière remarque qu'il ne va pas bien.

Le dos courbé, les plumes de son chapeau fripés, et du sang coulant comme du coulis de framboise sur ses habits. Il se maintient l'épaule du bras sans vie, en gémissant a chaque respirations, semblant lui être une mini torture. Il voit enfin quelqu'un habillé de blanc... et sans savoir si c'est un infirmier ou autre chose, il lève la main pour se faire remarquer. Seulement c'est l'effort de trop : il tombe de sa chaise, s'écrasant la face contre les petits carrelages froid de l'hôpital.*

*Il ne faut guère de temps pour que le cri d'une femme fuse, faisant intervenir en trombe plusieurs internes qui viennent s'accroupir autour de lui, et prendre soin de l'ausculter. Ils constatent avec horreur qu'ils ne sentent pas les battements du cœur de la personne en question. On appelle en réa, les pompes cardiaques, on installe le malade dans une coque, et c'est parti, pour un jeu à la urgences, ou le but est de sauver le malade le plus vite possible. En effet, personne ne s'est rendu compte encore qu'il était à moitié machinique...*

*Alors qu'il est soulevé et mit dans l'espèce de coque, il se met a gémir comme s'il avait encore un cœur bien battent. Ouvrant a demi les yeux, il commence a divagué, signe qu'il s'est pris un bon coup a la tête, n'arrivant pas a aligner correctement un seul mot a cause de sa paralysie semi facial. Il se prend a voir son père se pencher au dessus de lui... Vision d'horreur pour Hurle !!! Son père tient sauvagement dans ses bras un chat a plume et ailes casée, dans un sale état, le contraignant à ne pas bouger.
Alors il se met a crier et gesticuler pour partir de devant ce père au sourire mauvais, aggravant la douleur de ses blessures. Ses gadgets deviennent fou eux aussi, comme obéissant a sa peur : des cartes de visites sortent de sa poche de devant comme expulsé par le vent, des crampons apparaissent sous ses chaussures, ses vêtements changent de couleur, etc... la vrai pagaille.*

hj : sorry >.<

*Les médecins ne savent plus ou donner de la tête, et c'est finalement un médecin elfien qui prend une bonne décision. N'ayant pas de matériel sous la main il endort le dangereux en lui jetant un sort de son cru.

Le but : la calmer, afin de pouvoir vérifier si ses doutes sont fondés : il a déjà soigné des demi-machines par le passé, et commence à se demander sis ses "anomalies" ne seraient pas dues à cet état.*

*Hurle est assommé et arrête sa crise. C'est radical. Le médecin peut trouvé dans ses affaires un petit document qui parait totalement anodin pour le premier pecnot venu, mais dessus il y a le signe de la famille royale. Il est inéluctablement un membre de cette prestigieuse famille... mais impossible de dire qui. Selon les version populaires, le jeune prince Hubert, étant dans un profond coma, a du céder son droit au trône de premier né, a son demi frère. Alors personne ne peut savoir que Hubert alias Hurle, est bien réveillé... enfin la plus trop.*

*L'elfe fronce un sourcil en trouvant le blason. Il demande à ce que l'on fasse appeler l'un de ses collègues humains puis se remet à prendre les signes vitaux d'hurle en prenant en compte le fait qu'il soit semi-machine ce qui se révèle être le cas. Maintenant sûr de ce fait, il demande également à ce que l'on fasse appeler un autre collègue, semi-ekoï. Ces deux médecins plus spécialisés s'occuperont mieux de son cas. Il est finalement transféré en salle d'opération et n'en ressort que bien plus tard, environ 2 heures après.

Le médecin humain écarquille les yeux. Lui reconnait le blason et le cache bien vite dans sa poche. Il ne veut pas que l'homme soit reconnu tant qu'il n'aura pas causé avec lui. *

*C'est un mur blanc impeccable qu'Hurle voit dés qu'il se réveille. Tout est encore flou autour de lui. Il essaye de baragouiner quelque chose, mais il a une espèce de sonde dans la bouche qui l'empêche de parler. Alors une petite alarme se met en marche, signifiant que le patient a repris connaissance. Il ne se souvient de rien... et tâte son corps pour voir si on ne lui a pas enlevé un bras ou une jambe. Mais tout semble être a sa place.
Il se met alors a couiner pour qu'on le libère de tout ses fils accroché a lui, comme s'il était une pile que l'on recharge.*

*C'est le médecin humain qui vient quelques minutes plus tard au pas de course. Il lui intime de se calmer puis enlève les tuyaux qui lui permettaient de respirer. Sa voix se fait calme, il ne veut ni l'effrayer, ni fair amis ami avec lui. Sa chambre est d'ailleurs à part, il est complètement seul*

*Il se redresse un peut et le toise du regard, un regard flou et pas du tout réveillé comme il faut.*

Cher monsieur... maintenant que je suis d'appoint, vous pouvez m'aider a me relever et partir de cet... endroit aseptisé ? ça fait peur trop de blanc sur les... murs...

*Il commence déjà a enlever tout ses liens, éteignant toutes les machines a coté de lui grâce a l'une de ses alchimitisations élétro magnétique. Le médecin avait pu voir que les seules et rares parties mécaniques du patient étaient en or pure, pour facilité la vitesses des donnés informatiques... luxe offert que pour les prototypes de machine de guerre ou de pointe. Seulement devant lui, il n'y a qu'un foufou a tête de malade qui lui demande la lune.*

Attendez attendez d'accord? Vous êtes une semi machine vous pourrez donc repartir plus vite que la normale mais soyez un peu patient d'accord? Nous avons encore quelques examens à vous faire pour savoir si vos plaies vont se refermer vite ou non.

Et puis votre organisme n'est pas encore très réveillé, laissez lui le temps de se reposer voulez vous? Sire?

*Hurle aurait presque écouté le médecin s'il n'avait pas sortie son dernier mot, qui le met dans une rage noire !!!*

SIRE ?!!! NON MAIS ? d'ou vous sortez ça vous ?!!! Je suis Hurle Pandragon !!! Alchimiste de renom... pas un espèce de fifils a papa d'un roi péteux !!!

*Il se trahi malgré lui, n'étant pas encore vraiment lucide sur ce qu'il dit. Il grogne voyant qu'il en demande trop a son corps, et se recouche les bras croisé en agoutant.*

Si c'est pour parler, je ne le ferais qu'en présence de mon... avo... avo... avo... avo... avo...

*Hurle est bloqué, beugant royalement devant le médecin. Il a été sous un coup de stresse et d'énervement, et a chaque fois sa ne rate pas (c'est pour cela qu'il joue bien souvent la comédie, préfèrent rire que rouspéter).

D'accord d'accord! Calmez vous je suis le seul au courant et je n'ai pas l'intention de le répéter, si vous vous cachez c'est qu'il y a une raison!

*Le médecin ne fait pas attention au bug. Il sait qu'il passera dès qu'Hurle sera calmé.*

J'ai d'ailleurs caché ceci afin que personne ne soit au courant je crois qu'il est utile que je vous le rende à présent...

*Hurle se calme t'en bien que mal, sa respiration ayant du mal a suivre le rythme avec lequel il avait déballé sa suite de "avo". Avec une voix étranglé.*

Zavé pas in...té...ré....

*Oui... on peut dire que sa vie en dépend, surtout quand la personne qu'il craint le plus possède son vrai cœur. Il penses que c son espèce de blason, et maugrée en lui d'avoir gardé ce truc... mais d'un coté il n'arrive pas a s'en détacher.*

Qu'ezzz allez faire de moi ?

Rien du tout. Je l'ai déjà fait je vous ai soigné...

*Le médecin lui tend son blason.*

Je vais vous garder ici une nuit que vous puissiez prendre du repos et que votre côté organique puisse se rétablir, et demain vous pourrez partir. Simplement ça.

*Mais hurle n'est pas du même avis... car s'il reste sur place, il perd sa place en se monde. Il commence alors a se relever, sentent le dure frottement de ses parties mécaniques pincer ses blessures de chair. Il ne peut s'empêcher de crier, mais retente de se relever.*

Si je reste... on me localise... si on me localise... je meurs... j'veux pas mourir !!!

*Certaines de ses parties mécaniques sont momentanément mi en veille a cause d'un bidouillage que le médecin a du faire. Ne sentant plus ses jambes, raides comme des piquet, il se met a rouspéter le médecin.*

ET MES JAM...Aïeuuuuuuuuh !!! mes jambeuuuuh...

*Il retombe lourdement a sa place, incapable de faire plus pour le moment.*

Ne vous inquiétez pas à la fin! je vous l'ai dit, personne ne sait que vous êtes là, d'accord? Personne! Je m'y engage, et je sais de quoi je parle!

Quand j'ai vu qui vous étiez j'ai tout de suite fait en sorte que vous passiez inaperçu si je puis dire. ALors reposez vous, et ainsi vous pourrez mieux repartir demain. Si vous êtes vraiment poursuivi, vous ne pourrez rien faire dans cet état, et croyez moi vous êtes plus en sécurité ici!

*Hurle le fixe, entre un regard méchant d'incompréhension et de remerciement étouffé. Il ne répond rien a ça dès que ce fut sorti de la bouche du médecin. Il ne fait que confiance a lui même. Il a oublié d'enlever une sonde qui lui déverse dans le sang quelque chose qui le calme... et lentement ses paupières redeviennent lourdes. Il agrippe alors le bras du médecin en disant d'une petite voix, comme un gamin qui a peur du noir.*

Restez avec moi... s'il vous plait...

*Le médecin soupire soulagé qu'une bribe de confiance apparaisse chez ce patient assez singulier.*

J'ai encore une heure de boulot. Je vais y retourner, sinon tout cela semblera suspect. Mais je passe souvent près de votre chambre, je peux donc surveiller. Ensuite, je resterai en civil, veiller. Cette proposition vous convient elle?

Oui...

*Dit en un soupir de soulagement. Il ne pense pas qu'il le fera, mais cette parole a au moins le don de le calmer, détendre ses nerfs a vifs. Trop de souvenir le pique, son accident, ce que sont père a fait de lui... trop de choses en se moment de faiblesse resurgissent. Il n'est plus le ciborgue étrange, plus le fou des rue, juste l'ado qui a perdu sont cœur restant face a ses obsessions. Ses yeux se ferment complètement alors que sont souffle devient plus régulier... et lentement il s'endort.*

*le médecin attend d'être sûr qu'il dort pour s'éloigner. S'il la gardé au secret, c'est car un fils d'empereur qui a disparu et qui ressurgit de suite ne doit ^pas être connu. Il est aussi fidèle à l'empereur qu'à ses fils et tient à ce fait. C'est d'ailleurs pour cette raison également qu'il a tenu son collègue au silence. Ayant peur pour lui malgré tout, il revient après son service, comme promis le veiller, malgré les interdits du métier, obligeant les médecins à ne pas s'attacher aux patients. Il se sent dans l'obligation de le protéger.*

*Hurle se réveille environ 2heures après que le médecin l'ei quitté. les yeux fixe vers le plafond comme a sont premier réveille. Il est livide comme une terre qui n'aurait plus vue le soleil depuis longtemps. Il est désespéré de se sentir aussi diminué, aussi prés de ses sentiments qu'il déteste. Son réveille, sa faculté a résister contre le médicament, il le doit sans doute a toutes ses injections de venin qu'il se fait a petite dose tout les jours, pour ne pas mourir empoisonné par l'un de ses sorts, ou par un assassin a ses trousses.
Tournant la tête sur le coté, il voit le médecin, et lui dit tout bas avec un sourire maladif.*

Vous avez tenu votre promesse... je vous en défais. Vous avez réchauffé ce que je n'ai plus par votre soutient... mon cœur. Merci...

*A l'endroit de son cœur, le foulard bleu qui remplissait le vide a été enlevé, sans doute pour comprendre mieux le fonctionnement de l'ékoï. Il y met les doit comme découvrant cette blessure pour la premier foi.*

Vous devez avoir une famille. Votre absence va les inquiéter.

Je suis médecin, et je vous ma vie à ce métier. J'ai une femme qui a appris à vivre de cette état, et elle est elle aussi médecin. Nous nous voyons peu mais notre amour en est plus intense lorsque nous sommes ensemble.

Pour moi comme pour elle, notre bonheur réside dans l'utopie de sauver toutes les vies passant entre nos mains...

*Il retourne la tête vers son vide plafond en souriant.*

Vous avez donc la trouvé la femme parfaite. Mais le temps est trop cours, un jour il vous l'enlèvera, profiter bien de sa présence. Moi je ne suis rien a vos yeux. Ou alors si vous savez qui je suis, je ne suis qu'un souvenir dans les mémoires populaires, qui ne doit resurgir dans la douleur mais l'évanouissement.

Si je dois renaitre comme le Pan-dragon, ce sera dans la gloire de mes persécuteurs disparu a jamais !!!

*Il commence a suer véritablement, le délire le prenant pas de façon volontaire cette foi. Il prend les couverture et se four mieux dedans, ne disant plus rien pour le moment.*

Vous semblez être quelqu'un de seul, est ce mal que je tente de vous aider comme je peux?

*Le médecin se rapproche de lui.*

D'après ce que j'entends, rares sont les personnes qui en prennent la peine. Moi c'est mon cas, et vous ne m'obligerez pas à abandonner.

*Il lui met le doigt sur le crâne, comme s'il voulait lui faire rentrer ses prochaines phrases dans le crâne.*

De plus je ne veux pas que vous partiez tant que votre corps ne se sera pas rétabli. Tout ce que vous risqueriez de faire, c'est m'obliger à aller vous chercher, et vous devrez revenir ici pour y rester plus longtemps. Cela signifiera également plus de douleurs pour vous, je n'y tiens pas.

Vous n'avez pas tord... mais je n'obéis qu'a une seule loi : celle de mes désirs.

*Enfant il avait toujours eux ce qu'il voulait, malgré la dureté de son éducation, et depuis il n'en fait qu'a sa tête. Mais la, la douleur prend bien plus la place que ses réelles désir de partir loin d'ici. Alors en mauvaise foi, il lui sort un petit.*

Mon désir est de ne pas me faire mal a l'instant précis, alors faite comme bon vous semble. Mais pensez un peu a vous la prochaine foi...

*Sont problème a lui, est que justement il penses trop a lui même : des "cadeaux a moi même" tout les jours, des "Ooh mais vous en reprendrez bien un peu" a lui même... bref il est archi seul avec lui même. Il s'en accommode, mais les gens s'en éloigne a cause de ça.*