Le vieux chat a plumes

Mais j'aurais toute une vie ensuite pour m'occuper de moi. J'ai donc le temps de m'occuper de vous. Moi aussi j'obéis à mes désirs voyez vous? Et mes désirs réels sont d'aider.

Toute votre vie ? a... parce que vous êtes quoi ? une sorte de docteur qui a trouvé la fontaine de jouvence ? Pour vouloir obéir a ce désir... c'est vraiment qu'il y a quelque chose qui cloche en vous, en bien ou en mal, je ne suis pas la pour vous jugez : les humains font tout pour leur seule et unique peau ! aider fait partie des faux semblant pour soit se donner bonne conscience, soit pour mieux manipuler les autres...

*Il a une vision très personnaliste, et ne comprend pas qu'une personne peut réellement aimer aider.*

La nature humaine est pure égoïsme, pur détachement, pur n'importe quoi...

*Il faut dire que les seuls exemples qu'il a eut dans son enfance ne sont pas très glorieux. Sa voix commençait a dérailler, et une simple pression du pouce dessus lui permet de reparler presque de façon normal.*

Si vous le dites... les exceptions ça existe. Cette expression fait vantarde, néanmoins je pense qu'elle reste fondée.

Si le mot confiance existe c'est qu'il est parfois utilisé, et utile. Même si elle est souvent trahie je l'admets.

Ouai... j'peux essayer de comprendre cela, c'est dans mes capacités. Il y a l'absolu et ce qui lui échappe : l'exception.

*Il fais une petite pause, la fatigue l'emportant de nouveau petit a petit. inconsciemment il se force a parler pour ne pas se retrouver seul dans cette endroit qui pu le désinfectant.*

Comment vous vous appelez... ? que je puisse au moins vous remerciez de votre geste d'exception !

Wrindle Echoes, enchanté...
Hurle c'est ça? c'est ce que vous avez dit tout à l'heure...

Hum... c'est ce que j'ai dit...

*Mais la façon d'on il le sort, c'est comme s"il n'en était pas convaincu. Puis il sourit au docteur en lui tendant la main pour lui dire bonjour.*

Et bien merci a vous monsieur Echoes ! que me diagnostiquez vous donc pour que je sois dans un aussi mauvais état ?

Eh bien ma foi vous aviez un bras cassé, et le reste de vos os ont semble t'il été sauvés par vos parties machiniques vous avez de la chance! En revanche nombre de vos tissus organiques n'ont pas supporté le choc et ont tout simplement été lacérés par l'impact. J'ai à un moment sincèrement cru vous perdre, vous revenez de loin, je ne sais pas ce qui vous est arrivé, mais votre accident a été particulièrement violent!

J'espère sincèrement pour vous que tout ceci ne se reproduira pas de si tôt, voir pas du tout!

*Hurle grimasse. Il s'était déjà amoché souvent, mais la il garderait sans doute des traces de cet accident. Il devrait encore utiliser l'un de ses produits dangereux dont il a le secret, pour forcer son corps a réagir et ainsi guérir de façon éclair... trop de chose dépend de son avenir en se moment.*

Je l'espère aussi fortement... Ça tombe mal tout ça...

*Hurle... stupide déchets laissé par l'empereur, veut s'attaquer a gros, en plus presque totalement seul. Doucement il lui demande.*

Qui pensez vous que je suis ?

Qui exactement? Je pense à un enfant soit disant disparu, que j'ai retrouvé et que je dois donc cacher, c'est mon devoir.

Si vous voulez savoir ce que je pense de votre personne maintenant, je n'en ai pas la moindre idée, je ne vs connais pas assez...

*Le mot "enfant" lui fait mal... oui il était bien jeune quand son accident l'a caché de la vue de son peuple, mais cela fait longtemps, et a présent il a plus de 20ans. Mais il ne le blâme pas, il va pas s'offusquer devant sont sauveur.Seulement, comme beaucoup, il sent qu'il va être encore une foi de plus abandonné, sont caractère mal trempé et son physique étrange fessant bien souvent fuir ses "proches".

Il ferme les yeux et sourit tout doucement... il doit rêver et se rêve malgré qu'il soit douloureux, est plutôt agréable. A mi voix il lui dévoile sont nom.*

Je suis Hubert Berlu... premier fils d'un empereur tyrannique, qui ne voulant plus de sa femme, l'a trahi et a délaissé sont fils pour une autre. On m'a donc élevé a la baguette, n'étant pas assez brillant pour hériter de mon père... la suite et imprégné par les contes populaires d'une triste fin brouillardeuse. Voila... vous savez assez de choses je penses...

*Sa voix devient de plus en plus basse : il commence a s'accorder le sommeil.*

Oui...
Vos dernières paroles m'honorent, je ne pense pas que beaucoup de personnes aient pu les entendre.

*Puis remarquant sa fatigue soudaine.*

Bien, dormez maintenant, je veille. Et je tiens à ce que vous sachiez que si je peux vous aider, même hors de ces murs, vous pourrez compter sur moi, alors n'hésitez pas!

*Une larme coule sur sa joue, ça fessait bien longtemps que son "cœur" n'a pas été touché par un geste de la sorte. Il lui dit un simple et petit merci. Puis, se laissant porter par la fatigue, son souffle léger laisse entendre les mécaniques de pointes qu'il a en lui, faire leurs petits clapotis régulier et discret.*

*Comme promis, le médecin le veilla, ne dormant que très peu cette nuit là, par peur qu'il se réveille pendant qu'il était assoupi. C'est en début de matinée qu'il s'endormit vraiment, las et conscient qu'on ne pourrait l'attaquer dans une zone publique en plein jour.*